Témoignages sur la prépa

    • Arnaud M., étudiant à Théo de 2013 à 2015
      « Après mon obtention du bac S au lycée Théophile Gauthier et ne sachant pas où m’orienter, j’ai décidé de faire la prépa PCSI de ce même lycée. Après une première année plutôt difficile, mais surtout par manque de travail personnel, je suis passé en PC où tout s’est bien passé. Ces deux années de prépa m’ont été très bénéfiques, dans une ambiance conviviale et avec des profs très à l’écoute. Je suis actuellement en 4éme année d’écolé d’ingénieur, au sein de Polytech’Orléans en spécialité Technologie pour l’énergie, l’aérospatial et la motorisation. Une filière assez généraliste où on aborde des domaines comme l’aérodynamique, la mécanique des fluides, la thermodynamique et les systèmes de propulsions entre autres. Et en 5éme année je pars en Erasmus à Budapest à la Budapest University of Technology and Economics grâce à mon école, qui va me permettre d’approfondir mon apprentissage et de découvrir une nouvelle culture. Finalement, ces deux années de prépa resteront comme un bon souvenir, grâce a l’écoute des professeurs de la prépa et à leur soutien. »

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    • Thomas A., étudiant à Théo de 2012 à 2015
      Suite à l’obtention de mon Bac Scientifique au Lycée Marie Curie de Tarbes j’ai décidé d’intégrer la PCSI du lycée Théophile Gautier toujours à Tarbes. J’ai passé une excellente première année où je me suis fait de très bons amis et plein de bons souvenirs. J’ai ensuite poursuivi dans la filière PC en deuxième année mais je n’ai pas eu les écoles que je voulais aux concours. J’ai donc décidé de refaire une année de maths spé, ce fut une décision difficile à prendre mais je ne regrette absolument pas. C’est ainsi que j’ai intégré l’ENSEEIHT (école nationale supérieure d’électrotechnique, d’électronique, informatique, hydraulique et des télécommunication de Toulouse) dans le département mécanique des fluides qui était mon premier vœu. Je suis maintenant en semestre d’échange Erasmus en Irlande à la Queen’s University of Belfast où j’étudie l’aérodynamique et les turbomachines ce qui complète bien mon cursus en France. L’expérience Erasmus est vraiment intéressante car elle permet de voyager, de découvrir un nouveau pays et de nouvelles façons d’étudier. Je remercie la prépa de Théo et ses professeurs pour les 3 ans que j’y ai passés car ils m’ont permis d’intégrer l’école qui me plaisait le plus.

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    • Quentin R., étudiant à Théo de 2013 à 2015
      Après l’obtention du baccalauréat scientifique je ne savais pas dans quelle branche scientifique je voulais m’orienter, donc j’ai décidé d’intégrer la classe préparatoire PCSI au lycée Théophile Gautier à Tarbes. L’ambiance conviviale de la promo et l’attention des professeurs pour chaque élève m’a permis de passer et d’apprécier ces deux années difficiles scolairement parlant ce qui n’est pas le cas forcément pour toutes les prépas de France. Après une première année compliquée je suis passé en 2nde année dans la filière PC. De ce fait j’ai pu affirmer mon orientation et après les concours j’ai intégré l’EME (Ecole des Métiers de l’Environnement) à Rennes qui était mon premier vœu. Je suis actuellement en semestre d’échange ERASMUS au Danemark à Aarhus University où j’étudie le traitement des eaux dans une STEP et la conception du réseau d’assainissement urbain, c’est une expérience riche à vivre aux niveaux social, culturel et scolaire. Je tiens donc à remercier le corps enseignant de la prépa Théophile Gautier pour ces 2 ans qui furent difficiles mais au combien précieuses pour mon parcours scolaire.

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    • Ludovic D., étudiant à Théo de 2006 à 2008
      Je profite qu’il me soit arrivé beaucoup de choses depuis depuis 2 ans pour vous raconter la suite de mon parcours.
      Tout se passe bien à Montpellier, c’est vraiment une très bonne école. Actuellement, je suis dans une semaine de révisons avant une semaine de partiels qui clôturera cette deuxième année. Je travaille particulièrement dur car il y a eu un peu trop de laisser-aller depuis que je suis arrivé ici. La première année s’est déroulée normalement mais le premier semestre a été plus difficile et j’ai pris du retard qu’il me faut maintenant combler. Je fais tout pour que ça marche.
      Depuis le deuxième semestre, je me suis spécialisé en chimie organique, c’est vraiment ce qui m’intéresse le plus. Et, l’école est bien réputée dans cette discipline. Il y a beaucoup de choses à retenir mais c’est très intéressant alors ça passe mieux.
      En parallèle, jusqu’en novembre dernier, j’ai participé activement à la vie de l’école en m’investissant dans différents clubs. J’ai beaucoup aimé faire partie de l’organisation d’évènements comme le gala et autres soirées.
      L’année prochaine, je vais partir faire une année de césure, c’est un stage de 12 mois entre la deuxième année et la troisième. C’était un vrai souhait depuis la rentrée dernière. L’école reçoit beaucoup d’offres de grands labos de recherche en chimie organique. J’ai pu passer des entretiens pour aller aux Etats-Unis, chez GlaxoSmithKline et Scynexis. J’ai obtenu une césure chez Pierre Fabre avant que Scynexis me recontacte il y a 3 semaines. Je vais donc partir 1 an aux Etats-Unis, c’est très excitant. Scynexis est un laboratoire qui mène des projets de recherche médicale pour des groupes comme Merck. C’est situé en Caroline du Nord, à Durham, au sein d’un énorme centre de recherche regroupant plus d’une centaine de grands groupes( Research Triangle Park). En plus, ils me mettent dans des conditions exceptionnelles. Ils me fournissent un appartement génial dans une belle résidence, une voiture et un salaire attrayant. Je suis très impatient.
      Je considère que mes années à Tarbes sont un vrai tremplin, j’espère que ça suscitera de l’ambition pour vos élèves.

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    • Florian L., étudiant à Théo en PCSI en 2006-2007, puis à Fermat en PC* en 2007-2008
      A la fin de l’année de Terminale S (déjà au lycée Théophile Gautier), au vu de mes résultats, j’ai constitué un dossier pour entrer en prépa au lycée P. de Fermat, à Toulouse, mais également pour celle de Théo. Toutefois, et ce contre l’avis de beaucoup, j’ai décidé de rester à Tarbes en classant la PCSI de Théo en première position de la liste de vœux. Je ne regrette absolument pas ce choix.
      En effet, j’ai passé une année de PCSI vraiment extraordinaire : malgré la somme de travail qu’il nous a été demandé de fournir, ce qui est parfois usant moralement, je me suis retrouvé dans une classe extrêmement sympathique, avec une ambiance vraiment agréable, sans concurrence malsaine. L’équipe pédagogique est aussi de grande qualité, dans toutes les matières.
      Certes les objectifs en fin de seconde année ne sont pas a priori les mêmes que dans des établissements comme Fermat (où l’on est spécialement préparé aux concours des ENS et de Polytechnique) mais l’enseignement n’est pas pour autant au rabais, loin de là. Tout est mis en œuvre pour que nous progressions efficacement.

      Ainsi, l’année de PCSI s’est très bien déroulée, à tout point de vue, à tel point que les professeurs m’ont proposé de constituer un dossier pour entrer dans une classe étoilée ― donc dans un autre établissement ― en seconde année. J’ai été surpris, puisque ayant refusé une première fois d’intégrer des établissements comme Fermat ou Montaigne (à Bordeaux) je n’étais pas resté à Tarbes dans l’idée d’intégrer ensuite de tels lycées, qui plus est en classe étoilée.
      Toutefois, après avoir sérieusement réfléchi à cette proposition, je l’ai finalement acceptée, et demandé à intégrer la PC* du lycée Fermat.
      Rien de paradoxal toutefois avec mon choix en fin de Terminale. En effet, à ce moment-là, je n’étais pas pressé de quitter ma famille (je n’avais alors que 16 ans), je ne voulais pas non plus me “détruire moralement” dans une prépa où la concurrence aurait été rude, sachant que je ne me voyais pas intégrer ensuite une école d’ingénieur.
      Pour tout dire, j’ajouterais que je ne me faisais pas non plus confiance pour réussir dans de tels établissements. En fin de PCSI, alors que mes résultats me plaçaient en tête de classe, il m’a semblé nécessaire de me confronter enfin à une vraie difficulté. C’était aussi l’occasion de quitter le cocon familial.
      La constitution du dossier de candidature a également été source d’agréables surprises car les profs de PCSI n’ont pas hésité à m’encourager (alors qu’ils auraient pu essayer de conserver un “bon élément”), ainsi que la Proviseur qui est intervenue avec une grande amabilité pour appuyer ma candidature à l’internat de Fermat.
      En conclusion, j’ai été accepté en PC* à Fermat, ainsi qu’à l’internat, et ai pu suivre une année de Spé riche à beaucoup de points de vue, mais pas exempte de difficultés, bien au contraire.
      J’espère, maintenant que les concours ont été plutôt réussis, intégrer l’an prochain le Magistère de Physique d’Orsay.
      Malgré tout cela, j’ai gardé sans difficulté contact avec mes professeurs de Théo.
      Preuve en est le présent témoignage.

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    • Emilie M., étudiante à Théo de 2004 à 2006
      Je suis aujourd’hui en première année à l’école européenne de chimie de Strasbourg.
      Mes deux années de prépa à Théo sont les meilleures années de ma scolarité (si si vraiment). J’ai rencontré de vrais amis, une super ambiance et j’ai eu le concours CCPchimie… que demander de plus ? Les concours sont une bonne motivation et il faut savoir se mettre au travail, mais il n’y a rien d’insurmontable… la preuve.

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    • Laurent B., étudiant à Théo de 2004 à 2006
      De mon côté la classe préparatoire a vraiment été une grande surprise pour moi : Je m’attendais à une classe dans laquelle tout le monde se tire dans les pattes et j’ai découvert un véritable esprit de groupe à théo et des profs vraiment à l’écoute et au service des élèves. J’ai aussi acquis des méthodes de travail et beaucoup de connaissances. De plus, la prépa laisse, malgré ce qui est dit, le temps au loisir car j’ai continué le foot pendant les deux ans. 
      Pour ce qui est des concours il ne faut pas y arriver avec trop de pression car elle peut tout faire dérailler. Le plus important c’est d’y arriver reposé et serein. De plus, il faut être opérationnel les 4 jours d’épreuves car 1 journée de méforme (fatigue) m’a « coûté » CCP. Après pour les oraux, le plus important c’est convaincre : j’ai vraiment appris à me vendre.
      Maintenant je suis en école de céramique industrielle et je découvre peu à peu mon métier fait de sciences et de techniques mais aussi de relations humaines et d’ouverture d’esprit et c’est pour cela que la prépa ne doit pas couper du monde extérieur.
      Voilà mon témoignage qui peut paraître bateau mais j’ai ressenti ces deux années comme ça.

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    • Laura G., étudiante à Théo de 2002 à 2004
      Ah, la prépa de Théo, que de souvenirs ! Tout d’abord l’internat en première année, qui m’a permis de ne pas trop me disperser et de pouvoir travailler en petit comité le soir au 4ème. Ensuite, évidemment, tout le boulot de la prépa y compris les colles, les projets qui m’ont aidée à me sentir plus à l’aise à l’oral, aspect essentiel de la vie active et de la vie en général. Puis, les relations avec les profs qui sont en permanence derrière nous en train d’essayer de nous motiver. Et surtout l’ambiance ! Comme le dit JC dans son témoignage, je n’ai pas ressenti cet esprit de compétition…même si en 2nde année la pression monte un peu. J’ai eu la chance de tomber sur une promo qui ne se prenait vraiment pas la tête, qui savait aussi festoyer et qui m’a vraiment fait passer d’excellents moments… finalement, ce sont ces moments-là que je retiens.
      Les projets réalisés à Théo (dans le domaine de l’environnement) m’ont permis d’affiner ma vision du futur. J’ai donc intégré, comme je le souhaitais au départ, l’ENSI de Bourges, école généraliste en Maîtrise des Risques Industriels, option risques environnementaux (en troisième année). Autre moment phare de la vie étudiante… J’ai réalisé mes différents stages à Bureau Véritas, puis dans un laboratoire au Japon, et enfin mon stage de fin d’études chez EDF, pour effectuer des audits réglementaires dans les Centrales de Production Thermique en France. Actuellement, je suis Ingénieur d’Etudes chez Burgeap, Bureau d’études en gestion de l’environnement, au pôle Audit et Conseil, je réalise les dossiers réglementaires dans le domaine des ICPE (Installations Classées pour la protection de l’Environnement, càd des Dossiers de Demande d’Autorisation d’Exploiter, Mémoires de Cessation d’Activité) pour les industriels, je les accompagne également dans la mise en place de l’ISO 14001 (système de management environnemental). Je réalise des audits de conformité réglementaire, et audits de diligence.
      Ce que je retiendrai de toutes ces années d’études, c’est dans un premier temps, l’apprentissage de connaissances, mais surtout tous les liens affectifs et autres qui se sont créés et qui m’ont permis de m’épanouir.
      Un fort investissement à Théo, mais qui en vaut vraiment la peine…

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    • Benjamin R., étudiant à Théo de 2002 à 2004
      Je viens par ces quelques lignes vous révéler les secrets de ma vie professionnelle et mes sentiments « théophiliens ».
      Je suis actuellement en stage de fin de 3eme année. Normalement, j’aurai dû réaliser ce stage en entreprise mais comme je passe aussi un Master de recherche  » Science du bois et des fibres » en parallèle, je travaille dans un laboratoire de recherche (LERMAB).
      Sujet de mes recherches : élaboration d’une colle Urée- Formaldéhyde pour les panneaux de particules à faible émission de formaldéhyde. La logique aurait voulu que je fasse une thèse mais je pense plutôt me diriger vers la vie active. J’ai notamment postulé en tant que responsable de la promotion du secteur bois dans le département de la Lozère (un magnifique département limitrophe de l’Aveyron). On verra bien…
      Par rapport à la prépa, il est clair que c’est quelque chose qui a été largement bénéfique, voire décisif, dans mon parcours scolaire. Personnellement, même si ça a été très dur au niveau du travail (Norton et Thévenin me hantent encore), ça a toujours été un cadre solide qui m’a permis d’apprendre pas mal de choses.
      A contrario, je n’aurais jamais réussi en fac, je ne suis pas assez sérieux.
      En plus, je garde contact avec pas mal de personnes de notre promo donc ça m’a aussi permis de rencontrer des personnes sympathiques.
      Une fois la prépa terminée, on arrive à se dire que c’est une expérience positive !

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    • Jean-Charles M., étudiant à Théo de 2002 à 2004
      La première année de la prépa a été, pour moi, relativement « simple ». C’est à dire que j’étais venu à Théo dans l’esprit de travailler et donc de perdre 2 années dans ce sens-là.
      J’ai trouvé la deuxième année plus dure car il y avait une certaine lassitude et bien sur le stress des exams.
      Cependant je garde un très bon souvenir de la prépa.
      Je pense que ça été une chance de venir à Théo, où tout le monde est aidant et il n’y a pas cet esprit si caractéristique des prépa où c’est le meilleur qui gagne.

      Il y a eu un travail de groupe qui a facilité la charge de travail. D’ailleurs je me suis fait des amis pour la vie.
      Par la suite, j’ai donc fait une école d’ingénieur à Montpellier (Polytech’).
      J’ai fait mon stage de fin d’étude à Dietsmann Technologie où j’ai travaillé dans l’inspection de plate-forme pétrolière. Ce stage m’a beaucoup plu et j’ai souhaité poursuivre dans cette voie. Actuellement, je suis ingénieur méthode (Inspection) toujours pour Dietsmann mais contracté par Total au Gabon.
      Le conseil pour les « petits jeunes » est de s’accrocher pendant la prépa et que tout le boulot fourni en 2 ans donne des résultats par la suite.

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    • Patrice R., étudiant à Théo de 2001 à 2003
      En terminale, je voulais déjà faire de la chimie et pourquoi pas intégrer une école d’ingénieur dans ce domaine. Et pour ce faire, le meilleur moyen est évidemment la prépa (statistiquement parlant).
      Mais en lisant certaines histoires sur la vie en prépa, les profs qui accablent les élèves et des heures de travail interminables… Je ne me sentais pas forcement prêt à subir cette pression.
      Et une visite aux portes ouvertes de Théo m’a fait changer d’avis et privilégier cette prépa conviviale au regard des prépas de renom toulousaines.
      Ici vous trouverez des profs qui ne sont pas là seulement pour faire un cours mais pour vous accompagner jusqu’au moment fatidique du concours.
      Evidemment ce n’est pas tous les jours une partie de plaisir, il faut travailler régulièrement mais les efforts payent et aujourd’hui j’ai intégré l’école d’ingénieur chimiste de Mulhouse ENSCMu (concours CCP chimie) et je suis actuellement en stage en tant qu’ingénieur développement en Angleterre pour 11 mois.
      Je ne regrette pas d’avoir choisi la voix prépa/école car la vie en école n’a absolument rien à voir avec la fac… l’école est une vrai famille, avec pleins d’associations qui permettent de développer sa personnalité et ses compétences.
      A Théo, les profs sont là pour vous épauler et vous permettre d’accéder à l’école de votre choix.

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      • Christelle C., étudiante à Théo de 2001 à 2003
        Pour commencer, je suis arrivée en prépa parce que je savais que les cours, contrairement à la fac, se déroulaient en petit groupe c’est à dire 30 élèves donc rien ne changeait par rapport à la terminale ! Et aussi parce que je savais pas trop ce que je voulais faire, peut être prof de physique chimie !
        Donc en septembre 2001, me voici arrivée en prépa ; alors au départ c’est vrai que le rythme fait un peu peur, cours tous les jours, colles ( interro orale au tableau pour toutes les matières par groupe de 3 ) le mercredi après midi, et le samedi matin devoir surveillé 4h sur 1matière et aussi devoir maison !
        Mais on prend le rythme, on a des TP, des TIPE qui permettent tout au long de l’année de développer un petit dossier, les profs sont là pour nous encadrer, donner des méthodes de travail, de la rigueur nécessaire dans un boulot d’ingénieur.

        Le contenu des cours est très bien, c’est vrai un peu déroutant parfois, certaines parties on ne les voit plus jamais sauf ceux qui font de la physique, de la chimie ou des math pures !
        Et la vie étudiante dans tout ça ?

        Et bien ne vous inquiétez pas, il y a des soirées, la 1ère vient avec la journée d’intégration très sympa, et puis des repas….. ! Et en général, une bonne ambiance dans la classe !
        Et pour ma part je passais tous mes dimanches au ski, et samedi soir en boite !
        Puis vient le moment des concours, dès la 1ère année, l’occasion se présente de pouvoir intégrer des écoles (les « petites mines » : Albi, Alès…), écrit puis si admissible oral ( surtout ne pas dire que si vous êtes pris vous ne savez pas ce que vous ferez (si vous y allez ou non !)). La 1ère année se termine ainsi.
        Septembre 2002 : 2ème année on ne rigole plus, à la fin de l’année les concours. L’année se présente comme la précédente sauf qu’ au programme des colles et des DS révision des cours de l’année précédente et oui car certains sujets de concours peuvent portés sur la 1ère année !
        Fin avril 2003 les programmes sont bouclés, les révisions s’intensifient, le stress monte !! Mai 2003 c’est partis pour 10 jours de concours ( 7 pour ENSI et 3 pour Archimède (écoles moins cotés) pour ma part sur Toulouse ! ).
        C’est en fin de la 2ème année que j’ai su ce que je voulais faire grâce au TIPE , travailler dans la conception des skis donc recherche des écoles matériaux !
        Puis début juin retour au lycée pour finir le TIPE, préparer les oraux ! Et le stress des résultats le 7juin ! Admissible aux Ensi (CCP) et Archimède (réseau Polytech) ! Donc préparation intensive aux oraux et bien finir le TIPE ! Et aussi choix des école E3Aqu’on veut ! Donc juillet 2004 : les oraux ! Montpellier, Chambéry, retour 1 nuit à Tarbes puis direction Paris pour 1semaine de TP, TIPE ! Puis faire le classement des écoles où l’on souhaiterait aller, pas facile, car il ne faut pas viser trop haut.
        Et l’attente continue jusqu’à fin août , et là les classements tombent, ENSIACET pas possible, ENSI Bordeaux ( 70eme liste d’attente), ENSCCF (30ieme liste d’attente, ISITV de Toulon accepté ! On est obligé de faire la rentrée là où on est accepter même si on espère une autre école. Donc direction Toulon, attente d’une semaine pour Clermont mais je finis 13ème sur liste d’attente !
        Donc me voici en septembre 2003, à l’ ISITV DE TOULON (école E3A) c’est parti pour 3 ans, mais on est une grande promo de 120 divisée en 4 spécialités donc classe de 30 !
        Donc c’est parti mais en beaucoup moins intensif, 1ère année beaucoup de cours en tronc commun qui servent très peu mais obligatoires, stage 1ère année stage découverte je le fais à la Mongie !
        2ème année la plus dure : la spécialité commence, les cours sont intéressants peu de cours proches de ceux de la prépa un peu de chimie moléculaire, mais vraiment rien à voir, stage 2ème année en général se passe à l’étranger, et 3ème la moins longue car stage de 6mois (mars – août !! ).
        Et septembre 2006, diplôme d’ingénieur en poche ( enfin pas tout à fait il faut que j’obtienne mon TOEIC avant septembre 2007 !), recherche emploi ! Secteur ski très bouché, donc je cherche dans tout secteur ( et oui car il faut bien vivre d’autant qu’en Avril 2005 j’ai eu une petite fille !) !
        Depuis octobre 2006 à janvier 2007, j’ai travaillé dans un bureau d’études bâtiments ( qui n’est pas du tout ma branche donc galère en tant que débutant).
        Et depuis mars, je travaille à Soues (près de Tarbes) dans bureau d’études bâtiment et Offshore, je travaille dans partie offshore. Il faut être très rigoureux car la moindre erreur de chargement et la structure peut être déformée ou autre. C’est un travail très intéressant les cas de charges et d’études sont très différents !
        Tout ça pour vous dire qu’avec la prépa de Théo, les profs nous apprennent la rigueur, savoir trouver des solutions à tout problème ( qui est une des notions clé d’ un poste d’ingénieur ) c’est parfois dur mais le jeu en vaut la chandelle et franchement c’est pas prépa la plus dure, mais on a pas le stress permanent d’être le meilleur…
        Les profs sont là pour nous aider et ne nous enfoncent pas, l’ambiance est super, et ses 2 années de prépa que j’ai passées aux côtés de Mr Martinez, Mme Looten… sont d’excellents souvenirs !!!!

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    • Christine P., étudiante à Théo de 1998 à 2000
      La prépa est pour beaucoup une épreuve à surmonter pour atteindre les meilleures écoles d’ingénieurs.
      Faire sa prépa à « Théo », c’est « adoucir » ce moment difficile tout en s’assurant un environnement propice à la réussite.
      Pas de compétition déplacée à Théo, pas de coups bas… Le passage entre ces murs crée des amitiés fortes qui perdurent au delà des 2 ans de prépa.
      Les concours… c’est un peu loin dans mon esprit aujourd’hui mais je crois que l’essentiel est de croire en ses chances et de ne pas se laisser aller à un complexe d’infériorité.
      J’ai pour ma part intégré l’école de chimie de mon choix. En parallèle de ma troisième année d’école, j’ai suivi des cours de DEA. J’ai ensuite fait une thèse de doctorat sur la chimie du vin.
      Aujourd’hui, je suis à la recherche d’un emploi mais des pistes sérieuses s’ouvrent à moi, tant en France qu’à l’étranger.
      Finalement, faire sa prépa à Théo peut mener à tout type de poste… même dans des entreprises de grande envergure !
      En 2008, Christine est ingénieur, responsable du service R&D vin, dans la société Vivelys, à Montpellier.