La force des Grandes Écoles de Management réside dans la qualité de l’ insertion professionnelle qu’elles procurent à leurs diplômés. Le réseau des anciens élèves est un atout irremplaçable : il existe parfois depuis plus d’un siècle, là où d’autres formations peinent à connaître le devenir de quelques étudiants.
La Conférence des Grande Écoles publie des résultats de ses enquêtes insertion professionnelle. Nous pouvons aussi nous appuyer sur les enquêtes nationales effectuées par le C.E.R.E.Q (Centre d’études et de recherches sur les qualifications) sur le devenir des diplômés après leur sortie de l’enseignement supérieur.
Nous nous intéressons aux seules écoles supérieures de commerce reconnues par l’Etat, dont le diplôme est visé par le Ministère de l’Éducation nationale et qui sont habilitées à délivrer le grade de master.
- Un taux de chômage bien en deçà de celui des autres formations : un quasi plein-emploi à la sortie
- Une insertion professionnelle très rapide : seuls 5% des diplômés sont restés plus de 6 mois au chômage
- Des premiers emplois stables (contrat à durée indéterminée) dans quatre cas sur cinq
- Seulement 6% des diplômés avaient un emploi précaire (C.D.D ou intérim) trois ans après l’obtention de leur diplôme à la sortie
- Les rémunérations des débutants sont conséquentes